Relation International (ALPS) et Formation dans des Pays Amis

Citation :

23-12-2008 : La région de l'Afrique du Nord se dote d'une force de réserve



La seconde réunion des ministres de la Défense des pays de l'Afrique du Nord a abouti à la mise sur pied d'une force de réserve, dans le sillage des contingents régionaux de l'Union africaine (UA).

Dans un communiqué publié mardi à Tripoli, à l'issue des travaux de cette rencontre, les responsables de la Défense de la Libye, de l'Egypte, de l'Algérie, de la Tunisie, de la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD) et de la Commission de l'UA ont indiqué que cette force de réserve est renforcée par un secrétariat exécutif, une structure de planification et d'un fonds de financement basé en Libye, d'un commandement qui se trouve en Egypte et de deux bases administratives en Algérie et en Egypte

http://www.africanmanager.com/articles/120241.html

Qu'en pensez vous ? la RASD pourrait s'engager dans des missions de maintien de la paix en Afrique sous l'égide de l'UA ?

RASD/UNION AFRICAINE
Ministre de la défense sahraoui : Le Maroc entrave les négociations de paix
Tripoli (Libye), 24/12/2008

Citation :

Parlant de la force de réserve dont la mise en oeuvre dans la région de l'Afrique du Nord a été adoptée, il a indiqué que la RASD contribue avec deux unités, une de génie civil et l'autre de patrouille et contribue à toutes les autres structures du commandement de cette force avec notamment 40 officiers dans le cadre de la surveillance.

Voila la contribution de l'ALPS, c'est de l'expérience et des échanges interafricains bénéfique pour les officiers et HDT...
Manoeuvres internationale et vitrine de la RASD en perspective!

c'est un plus diplomatique inestimable pour la RASD

Voici quelques infos sur la future Force Africaine en Attente dont la RASD va intégrer.







Et ci dessous, le schéma de mise en place.

si le schéma est juste l'ALPS fera ces premiers manœuvres avec des armées étrangers cette année .

reste a déterminé le nombre de soldat que l'ALPS va engager dans la FAA

FRONT-POLISARIO a écrit:

si le schéma est juste l'ALPS fera ces premiers manœuvres avec des armées étrangers cette année .

reste a déterminé le nombre de soldat que l'ALPS va engager dans la FAA

Surement, l'afrique du nord était très en retard sur le planning de la FAA pour des raisons organisationnel. Maintenant les bases sont jetées et les structures sont prêtes tel le centre d'entrainement à Cherchell, le centre de planification et le fond de financement en lybie etc...sa peut démarer

Sur l'ALPS, (l'unité de patrouille) peut ètre une unité de la taille d'une section ou d'une compagnie qui bénéficiera d'un matos et d'une formation égale à toute les autres troupes.

Une unité puisé dans l'infanterie mécanisé ou motorisé, ou des commandos pourquoi pas ???

peut être les commandos oui

il parait que les premiers manœuvres militaires ça sera pour cette année

Du nouveau sur la force africaine....

Citation :

La RASD dans la Force africaine d'alerte

Pour la première fois depuis leur constitution, il y a désormais plus d’un quart de siècle, les forces armées sahraouies vont participer à une force multinationale, en l’occurrence l’African Stand-by Force (ASF) ou Force africaine d’alerte, dont la mise sur pied a été approuvée par le commissaire de l’Union africaine pour la paix et la sécurité.

Force permanente déployable, selon les scénarios, dans une fourchette comprise entre quinze jours et trois mois, l’ASF est constituée de cinq brigades régionales à composante militaire, civile et de police : SASBRIG (brigade de l’Afrique australe), EASBRIG (brigade de l’Afrique orientale), CASBRIG (brigade de l’Afrique centrale), WASBRIG (brigade de l’Afrique de l’ouest), NASBRIG (brigade de l’Afrique du nord).

C’est au sein de cette dernière, qui regroupe l’Egypte, la Libye, la Tunisie, l’Algérie et la Mauritanie, que seront intégrés les militaires de la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD). Il s’agit, certes, d’une présence symbolique puisque les forces armées sahraouies fourniront l’équivalent d’une compagnie renforcée de type mixte (génie et reconnaissance), mais dont la signification politique n’échappe à personne, cela même si la RASD est membre à part entière de l’Union africaine.

La NASBRIG devrait être opérationnelle au plus tard au début de 2009. Des responsables militaires sahraouis ont déclaré à TTU que la RASD était même prête à augmenter sa participation à l’ASF en fournissant, si nécessaire, une compagnie d’infanterie supplémentaire. Cette proposition était l’un des sujets à l’ordre du jour lors de la dernière rencontre à Tripoli, les 21 et 22 décembre. En fait, pour les forces armées sahraouies, augmenter leur participation à la NASBRIG ne constituerait pas un problème sur le plan de la disponibilité en termes d’effectifs et de matériel. Ces forces sont bien structurées, avec leurs six régions militaires (RM) faisant face au mur de défense marocain (une septième est placée en arrière du dispositif militaire sahraoui, près de la ville de Tindouf, en Algérie), et bien équipées, même si certains matériels commencent à accuser le poids des années.

Les forces armées sahraouies peuvent aligner des unités organiques et/ou interarmes (infanterie motorisée et mécanisée, artillerie sol-sol et sol-air, blindés, etc.) jusqu’au niveau du bataillon. Les hommes bénéficient d’une solide expérience dans le domaine des opérations en milieu désertique. C’est notamment le cas des éléments d’encadrement, dont la plupart ont participé pendant plus d’une décennie au conflit contre le Maroc. Ce sont d’ailleurs ces mêmes vétérans de la longue guerre contre l’armée marocaine qui sont aujourd’hui les plus favorables à la reprise des hostilités avec le Maroc, seul moyen, selon eux, de régler une fois pour toutes le dossier du Sahara.

En fait, le retour à la guerre est considéré par beaucoup, tant chez les militaires que chez les politiques, comme inévitable, si Rabat s’obstine à remettre aux calendes grecques un référendum approuvé par toutes les parties intéressées ainsi que par les Nations unies il y a désormais plus d’une décennie. Si cela devait être le cas, le nouveau conflit contre le Maroc pourrait être alors multiformes, comme le laissent entendre clairement les dirigeants du Front Polisario, de la guerre ouverte classique et non conventionnelle (opérations spéciales) à la lutte armée dans les territoires sahariens sous contrôle de Rabat (guérilla urbaine notamment), en passant par les actions de sabotage et les attentats ciblés, pour tenter de déstabiliser le royaume chérifien.

L’Intifada déclenchée dans les territoires sous contrôle de Rabat, qui s’inscrit en filigrane dans cette perspective, constitue un des quatre axes prioritaires de la stratégie approuvée lors du dernier congrès du Front Polisario, avec les activités de développement dans les «territoires libérés», l’action diplomatique tous azimuts et, surtout, la préparation des forces armées en vue d’une reprise des hostilités.

Nouvelles coopérations et nouveaux partenaires en perspective...

Citation :

A ce propos, de nouvelles initiatives pour le perfectionnement des cadres et des spécialistes militaires sahraouis à l’étranger sont en cours de discussions, notamment avec l’Afrique du sud et le Venezuela.

Hizb Al Istiklal a écrit:

il parait que les premiers manœuvres militaires ça sera pour cette année

Normalement oui, la formation sera assurer en Algérie, dans l'annexe Abane Ramdane, elle a été choisi pour formé les éléments de la NASBRIG. Elle devra accueillir des stagiaires de tous les pays membres.

Info sur le site:

Cette structure, qui constituent une annexe de l'AMIA, baptisée Abane-Ramdane, et qui seront ouvertes à la prochaine rentrée, sont situées à 7 km de l'Académie et comprennent notamment :

- D'une capacité d'accueil de 1.500 élèves officiers et dispense une formation pratique d'un an dans les différentes techniques militaires

- d'un centre de simulation de tir de haute technologie.

- L'AMIA dispose aussi d'une nouvelle salle de commandement dotée d’une liaison par vidéo-conférence et d’équipements pédagogiques de pointe.

Les bases et les techniques avancées de tir seront enseignées aux élèves officiers dans ce centre à l'aide de pistolets électroniques à laser et dotés d'un mécanisme de recul à air comprimé, pour simuler les conditions de tir des armes à feu. Celui ci se fait de façon électronique, sans aucun projectile, ce qui permet d'économiser les munitions, d'éviter les accidents de tirs et de donner aux stagiaires une expérience de base avant le passage au tir à balles réelles.

Citation :

First national capacity for weapons clearance established in Western Sahara

Citation :

Une décennie après le traité d'Ottawa d'interdiction des mines, le premier entièrement qualifié du personnel national peut commencer la tâche de la compensation d'énormes quantités de mines terrestres et autres engins explosifs qui menacent la vie des personnes vivant et travaillant dans le Sahara occidental.

Le mardi 17 avril 2007, Landmine Action a tenu une cérémonie de remise des diplômes pour le premier groupe de sahraouis purement des opérateurs pour compléter le plein d'élimination d'engins explosifs (EOD) cours de formation - qui va maintenant commencer à travailler dans le contrôle du Polisario au Sahara occidental.

Depuis Octobre 2006, Landmine Action a permis de former un personnel national équipe de 12 ingénieurs de l'armée démobilisés Polisario dans le sondage, la cartographie, le déminage des zones de conflit ainsi que les procédures médicales afin de développer une capacité nationale d'entreprendre des opérations de déminage conformément aux normes internationales pour le déminage.

La cérémonie, qui a eu lieu au siège de l'action antimines à Tifariti, suivie d'une démonstration pratique à un centre de démolition, a été suivi par le Président de la République sahraouie, le Polisario, le ministre de la défense, le commandant de la Force pour la Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental (MINURSO), des représentants de l'Organisation des Nations Unies Service d'action antimines (UNMAS), Organisation des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Parlement sahraoui, plusieurs organisations non gouvernementales, des invités de la société politique et civile ainsi que des médias nationaux et internationaux.

http://www.alertnet.org/thenews/fromthefield/459411/11769027517.htm


Complément d'infos sur l'organisation:

Citation :

Landmine Action et le sondage de l'initiative d'apurement est le premier projet de ce type dans le Sahara occidental et, en collaboration avec Polisario et de la Mission des Nations unies pour le référendum au Sahara occidental (MINURSO), vise à renforcer les capacités locales de réponse rapide et de déminage dans le futur. Les résultats de ce projet seront les suivantes:

* Renforcement de la confiance parmi la population civile, en particulier les éleveurs nomades.

* Assurer la MINURSO, l'Organisation des Nations Unies Service d'action antimines (UNMAS) et les ONG ont un accès gratuit à tous les domaines.

* Démonstration de grave pour le mouvement de planification en vue d'un règlement de la question de la souveraineté du Sahara occidental.

La première étape du projet, deux équipes de six démobilisés Polisario ingénieurs de l'armée sont formés par des experts internationaux à la carte des champs de mines et de détruire les munitions en grappe.

Le plan à long terme sera la création d'une organisation non-gouvernementale (ONG) à prendre la responsabilité de la poursuite du projet.

http://www.landmineaction.org/issues/page.asp?PLID=1021&pageID=1044

Citation :

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Lutte contre le terrorisme au Sahel : la CIA sollicite le Front Polisario





Par TSA sonia lyes , le 06/04/2009

Pour lutter contre les groupes armés affiliés à Al-Qaïda dans la région du Sahel, les Américains multiplient les contacts et les initiatives de coopération avec les pays de la région. Parmi eux : le Sahara occidental. Une mission de la CIA se serait rendue récemment dans les territoires sahraouis pour solliciter la contribution du Front Polisario à la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel, croit savoir « La Lettre de l'Expansion » dans son dernière édition datée du lundi 6 avril.

Cette mission aurait été menée dans le secret le plus total. Les autorités marocaines n'ont pas été mises au courant de l'initiative de la CIA. Et « le département d'Etat à Washington en a été tenu à l'écart, afin de ne pas froisser le gouvernement marocain », affirme encore « La Lettre de l'Expansion », une publication bien informée sur les questions diplomatiques et internationales.

Cette initiative des services de renseignements américains constitue un double camouflet pour les autorités marocaines. D'abord, le fait que l'initiative a été menée dans le secret montre que les Américains n'ont pas une totale confiance dans leur « allié » marocain. Ensuite, elle affaiblit considérablement la stratégie marocaine visant à discréditer le Front Polisario sur ses supposés lien avec le terrorisme islamiste. A plusieurs reprises en effet, Rabat a mis en avant des « liens » entre les dirigeants du Front Polisario et Al-Qaïda pour tenter de discréditer le combat du peuple sahraoui pour l'indépendance.

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la nouvelle politique de obama en Afrique du nord est très intéressante

wait and see...

Déja que la CIA ai des contacts avec la RASD est déja un point positif .... et c un camouflet pour certains qui comparaient le polisario avec Al-Qaida....

il y a un moment qu'on pas entendue parlait de cette histoire de polisario = Al-Qaida et compagnie !

le gouvernement marocain a due en entendre parlait depuis un certains temps déja se qui explique qu'il sait calmé depuis

Citation :

Déploiement rapide, formation et centres d’excellence électronique
Les chefs d’état-major d’Afrique du Nord se concertent à Alger
Par : Synthèse R. N./APS


Les travaux de la 4e réunion de la commission des chefs d’état-major des pays membres de la capacité de la région d’Afrique du Nord relevant de la Force africaine en attente ont été ouverts, hier, au Cercle militaire de Béni-Messous (Alger). Prennent part aux travaux de cette réunion qui s’étalera jusqu’à jeudi prochain les chefs d’état-major d’Algérie, de Libye, d’Égypte, de Mauritanie, de la République arabe sahraouie démocratique et de Tunisie, ainsi que les membres du secrétariat exécutif de cette instance et des représentants de la Commission de l’Union africaine (UA).
Le chef d’état-major des forces terrestres, le général Bendjemil Kadour, qui a présidé la réunion en tant que représentant du chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a indiqué, dans son allocution d’ouverture, que cette rencontre visait “la finalisation des résultats ayant sanctionné la réunion des experts tenue récemment à Tripoli concernant la capacité de déploiement rapide, la formation, les centres d’excellence et le courrier électronique”. Pour sa part, le secrétaire général du secrétariat exécutif de la capacité de la région d’Afrique du Nord, le général major Ahmed Ahmed Abdallah Aoun a souligné l’importance de cette réunion dont le succès impliquerait, a-t-il dit, “la concrétisation des ambitions des dirigeants des pays concernés à travers la signature d’un mémorandum d’entente d’institution de la capacité qui constituerait sans aucun doute un pilier dans la réalisation de la paix et de la sécurité africaines”. Le chef de la délégation algérienne, le général Kadouri Mustapha, a indiqué dans ce contexte que la réunion examinera les questions concernant le règlement administratif, le budget consacré à la capacité et le déploiement rapide de cette instance outre des questions organisationnelles. Parallèlement, un atelier de formation est organisé et “concerne les formateurs militaire, civil et policier”, a-t-il ajouté. Le chef de la délégation libyenne, le colonel El Bahar Bachir Radjeb Safsaf, a de son côté rappelé les composantes de la capacité qui est constituée du secrétariat exécutif et de l’organe de planification avec leur siège en Libye, du commandement dont le siège est en Égypte et deux bases logistiques. Il a souligné dans ce cadre le vœu de cette instance de voir le siège de la base principale administrative de l’UA accueilli par la wilaya de Jijel.
Les questions soumises à débat lors de cette réunion seront présentées, après adoption par la commission, au Conseil des ministres de la Défense des pays membres puis à la conférence des chefs d’État. L’Algérie avait abrité la 3e édition de cette réunion les 21 et 22 octobre dernier à travers l’organisation d’un atelier consacré à la police et à la Gendarmerie nationale et au formateur civil de la région d’Afrique du Nord au sein de la Force africaine en attente.

Synthèse R. N./APS (Mardi 04 Août 2009)
http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=119368

dernière photo en bas à droite est le représentant de la RASD...

c'est une formidable vitrine pour la RASD dans le monde